Messenger figure parmi les réseaux les plus populaires actuellement. Vous souhaitez pirater un compte Messenger ? Avant d’aller plus loin, découvrez tout ce qu’il y a à savoir à ce sujet.
Pourquoi pirater un compte Messenger ?
Les raisons qui peuvent pousser une personne à pirater un compte Messenger sont nombreuses. Cela peut-être pour des fins malveillantes. Il y a des hackers qui accèdent aux comptes d’autrui afin d’obtenir des informations personnelles. Il y a également des personnes qui piratent un compte Messenger pour des raisons personnelles (surveiller son conjoint, ses enfants, etc.). D’autres piratent un compte Messenger tout simplement parce qu’ils ont perdu l’accès et qu’ils souhaitent l’obtenir de nouveau et le sécuriser. Bref, peu importe la raison, avant d’aller plus loin, voyez ce que dit la loi à ce sujet.
Pirater Messenger : que dit la loi ?
Pirater Messenger équivaut à violer la vie privée d’une personne. La loi punit sévèrement ce genre de pratique. Peu importe vos raisons, si la personne vous dénonce et que les faits sont prouvés, vous risquez gros. L’article 226-1 du Code pénal sanctionne ceux qui piratent un compte sévèrement : 45 000 euros d’amende et un an d’emprisonnement ferme. Il est fort probable que ces sanctions se durcissent encore plus d’ici quelques années vu l’augmentation des violences conjugales suite à l’accès à des données privées.
Comment pirater un compte Messenger ?
Maintenant que vous êtes au courant des risques que vous courez en piratant Messenger, que ce soit pour sécuriser un compte, pour surveiller ou pour hacker, sachez que plusieurs solutions s’offrent à vous pour accéder à un compte. Vous pouvez trouver facilement en ligne comment pirater un compte messenger, comme l’utilisation d’un traqueur (logiciel espion). Vous pouvez aussi essayer de deviner le mot de passe du compte concerné. Il est également possible de craquer le mot de passe du compte Messenger en utilisant un keylogger. Les hackers utilisent des méthodes plus complexes pour réussir leurs coups tels que l’hameçonnage (ou phishing).
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